Veuillez noter que le site web et le groupe Telegram mentionnés ci-dessous pratiquent l'escroquerie en se faisant passer pour un projet lié à la EOS Network Foundation et au réseau EOS en général :
N'interagissez pas avec le contenu du site et du canal télégramme suivants :
EOS-Glxz (site web de l'escroc) :
https://www.eos-glxz.com/
Telegram (groupe Telegram de l'escroc) :
Site web de l'escroc
Au cours de notre enquête, nous avons découvert une plateforme d'investissement qui semble être une escroquerie. La plateforme utilise un nom et un logo correspondant à la blockchain EOS et contient du contenu copié (graphiques et textes) à partir de messages Twitter de l'EOS Network Foundation (ENF). Ces tactiques sont utilisées pour tromper les victimes en leur faisant croire que la plateforme est associée à EOS.
Telegram de l'escroc
Nous avons découvert que les escrocs ont créé un groupe Telegram dont le nom, le graphisme et la description induisent les victimes en erreur en leur faisant croire qu'il existe un lien entre leur groupe et la EOS Network Foundation.
Pour tromper davantage les utilisateurs, ils promettent des profits rapides sur un projet d'investissement qui semble très suspect. Veuillez vous référer à la capture d'écran ci-dessous pour plus d'informations :
profits d'investissement suspects
Les fraudeurs utilisent depuis longtemps des rendements élevés pour inciter les investisseurs à participer. Il s'agit d'une stratégie d'escroquerie bien connue qui existe depuis longtemps.
Il est essentiel de reconnaître que dans l'économie décentralisée, il y aura des individus sans scrupules qui chercheront à exploiter la naïveté des autres pour accéder frauduleusement à leurs actifs.
Restez vigilant et informez-vous sur les escrocs. Faites vos recherches (DYOR) avant d'investir ou de mettre vos actifs en danger.
Consultez notre liste des escroqueries EOS connues.
Assurez-vous d'être au courant de toutes les escroqueries EOS en cours ! Restez en sécurité.
Auteur : Erick Birbe
Éditeur : Markus Hinrichs, Randall Roland
Traducteur : Charles Arroyo-Bishop
Sources et références :